Cyril Paulus
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Cyril Paulus
Les références de Cyril Paulus ne manquent pas de prestige. Fan de pop et de rock, ce jeune chanteur n’y va pas par quatre chemins quand on lui demande ses influences : les Beatles, les Beach Boys, Burt Bacharach, Carole King, James Taylor, mais aussi The Divine Comedy ou Depeche Mode… Tout ce qu’il y a de meilleur, en somme ! Et il fait partie des braves qui essaient de transcrire cette musique typiquement anglo-saxonne dans la langue de Molière. Un pari pas si facile…
Natif de Montpellier, il passe deux ans au début des années 80 en Angleterre ce qui, selon ses biographes, lui permet d’acquérir presque médicalement le virus de la musique. A son retour, il ne met guère longtemps à se rêver et guitar-hero et, l’âge venu, fonde son groupe à lui : Bittersweet, probablement inspiré de la célèbre « Bittersweet Symphony » en un mouvement de The Verve. Il collectionne les disques, donne de la voix et cherche sa voie.
A 18 ans, les labels commencent à s’intéresser à lui et, encore adolescent, Cyril a ses premières expériences de studio. Quelques déceptions – des choses commencées et jamais terminées – viennent miner son moral, mais pas sa détermination. C’est ainsi que, de fil en aiguille, notre poète de la six cordes électrique finit par trouver son inspiratrice : Jane de Boy, qui offre ses rimes aux accords du jeune homme. La collaboration, fructueuse, débouche sur un répertoire suffisant pour enregistrer un album.
C’est directement de là que nous viennent les douze titres (plus un sur Internet) de « Banquise », premier album publié en 2006 chez Sony BMG. On perçoit nettement son intérêt pour les tendances lourdes de la pop : Coldplay, Travis et les inévitables U2. Un son qui prend son temps, laisse les gimmicks devenir obsédants et vous pose une atmosphère avant de penser à la mélodie. La voix de Cyril quant à elle, est à rapprocher de Calogero, Martin Rappeneau ou Monsieur Clément : plutôt haut perchée et souffrant beaucoup.
Outre un single touchant, sur le thème d’un enfant qui veut se faire adopter mais attend infiniment ses futurs parents (« Un Autre Nom »), l’album s’envole quand le tempo s’accélère le temps de titres comme « Sur Ta Banquise ». Ira-t-il aussi haut que ses références ? Ça, l’avenir nous le dira. Mais il fait partie de ceux qui ont d’ores et déjà bénéficié d’un joli buzz sur le web, comme on dit dans notre métier.
Natif de Montpellier, il passe deux ans au début des années 80 en Angleterre ce qui, selon ses biographes, lui permet d’acquérir presque médicalement le virus de la musique. A son retour, il ne met guère longtemps à se rêver et guitar-hero et, l’âge venu, fonde son groupe à lui : Bittersweet, probablement inspiré de la célèbre « Bittersweet Symphony » en un mouvement de The Verve. Il collectionne les disques, donne de la voix et cherche sa voie.
A 18 ans, les labels commencent à s’intéresser à lui et, encore adolescent, Cyril a ses premières expériences de studio. Quelques déceptions – des choses commencées et jamais terminées – viennent miner son moral, mais pas sa détermination. C’est ainsi que, de fil en aiguille, notre poète de la six cordes électrique finit par trouver son inspiratrice : Jane de Boy, qui offre ses rimes aux accords du jeune homme. La collaboration, fructueuse, débouche sur un répertoire suffisant pour enregistrer un album.
C’est directement de là que nous viennent les douze titres (plus un sur Internet) de « Banquise », premier album publié en 2006 chez Sony BMG. On perçoit nettement son intérêt pour les tendances lourdes de la pop : Coldplay, Travis et les inévitables U2. Un son qui prend son temps, laisse les gimmicks devenir obsédants et vous pose une atmosphère avant de penser à la mélodie. La voix de Cyril quant à elle, est à rapprocher de Calogero, Martin Rappeneau ou Monsieur Clément : plutôt haut perchée et souffrant beaucoup.
Outre un single touchant, sur le thème d’un enfant qui veut se faire adopter mais attend infiniment ses futurs parents (« Un Autre Nom »), l’album s’envole quand le tempo s’accélère le temps de titres comme « Sur Ta Banquise ». Ira-t-il aussi haut que ses références ? Ça, l’avenir nous le dira. Mais il fait partie de ceux qui ont d’ores et déjà bénéficié d’un joli buzz sur le web, comme on dit dans notre métier.
* site officiel *
* blog officiel *
* Clip "un autre monde" *
source:musique.ados
bliss- Est en train de crever
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Date d'inscription : 10/12/2006
Re: Cyril Paulus
très bon choix j'adore cyril, un artiste exceptionnel au grand coeur, j'ai eu la chance de le rencontrer plusieurs fois a la suite de ses concerts.
le dernier c'était au café de la danse a paris septembre ou octobre 2007 !!
le dernier c'était au café de la danse a paris septembre ou octobre 2007 !!
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